Contrainte à réorganiser mon emploi du temps, à mon humble niveau, j’ai pour idée de changer le monde. J’ai donc commencé par changer mes habitudes alimentaires en retournant aux fourneaux. En réalité, j’éprouve une défiance croissante vis-à-vis des aliments industriels. Pour ce faire, j’évite non seulement les produits transformés mais également ceux dont la liste d’ingrédients est trop longue… 

Pour mes hôtes, j’adopte le même concept en gardant pour priorité au « manger fait maison ». Par mon savoir-faire, je défends…

     …le patrimoine du goût authentique

Bouffe à apprécier, rencontres à nouer, contes gourmands à révéler, jeux de société à pratiquer… « Chez Myriam », c’est tout ça ! Essentiellement, c’est du partage. Dans notre société actuelle, je pense qu’on a trop tendance à manger entre soi. Or, l’idée de cette table d’hôtes, c’est de rendre les repas plus conviviaux, plus ouverts autour de la table valaisanne qui peut accueillir jusqu’à 8 personnes. 

 

Mon envie de rencontres

Parfois des convives viennent en cuisine avec moi. Il arrive qu’ils apprennent quelques-unes de mes astuces ou me donnent leurs petits trucs. Mon intention est surtout de pouvoir échanger autour de la nourriture. Je trouve qu’on a beaucoup à apprendre les uns des autres. 

Mon combat environnemental

  • Sans prêchi-prêcha, ma cuisine est une manière de faire réfléchir à ce qu’on avale puisque les menus se déclinent essentiellement autour de produits régionaux (circuits courts) et du « fait maison ». Il m’arrive cependant de faire quelques entorses quant à la provenance des fruits, tels que bananes, ananas et … myrtilles. Ces petits fruits aux vertus antioxydantes, je les importe car ma recette de tarte aux myrtilles est une vraie tuerie. 
  • Afin d’éviter tout gaspillage, les hôtes ont la possibilité de prendre avec eux des contenants dans lesquels ils prennent leurs propres restes. Sinon, je peux leur confectionner des « doggy bag ».

Mon engagement féministe

En Suisse, pour travail et formations égales, les femmes gagnent toujours en moyenne 18% de moins que les hommes ! Un brin féministe, je lutte contre l’existence d’inégalités salariales entre les sexes. 

Pour ce faire, je pratique la même politique de prix sur la boisson la plus bue après l’eau. Madame paiera son café (ou thé) 60 centimes de moins que Monsieur !

Café/thé 

Fr. 2.70

Café/thé 

Fr. 3.30

Chez Myriam   

Chemin de Barouny 5
1961 Vernamiège
079/789 67 86

 

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